Pour une fois dans ma vie, il y a une personne qui respecte mon handicap qu'est la sécrétion liquide abusive de mes glandes sous-cutanées se trouvant dans les paumes de mes mains et de mes pieds.
En se quittant, elle a voulu avoir une poignée de main en guise d'amitié. J'ai refusé.
Je ne voulais pas lui faire subir la sensation dégueulasse qu'est la visquosité de mes mains. Je n'aurais pas eu la force mentale nécessaire pour supporter ses juxtapositions issues du dégoût, exactement comme la réaction de la majorité des gens qui connaissent le potentiel de mes glandes sous-cutanées. Mais non. Ce bonhomme-là m'a l'air tolérant. Curieusement, il semble même penser que le fait que je sus abondamment des mains est un certain pouvoir. Euh non c'est pas le bon mot...un certain don... ou -oserai-je le dire charme..!
Mais il y a quand même un bon côté dans mon refus, parce que les filles qui sont difficiles à atteindre sont celles qui ont du caractère et les filles qui ont du caractère sont les plus sexy et quand un bonhomme réussit un jour à les atteindre, ben alors son mérite est encore plus grand, lui procurant une plus grande fierté et donc la fille en question bénificie mieux de son...sa...passion..? Puisque...(toujours le même bonhomme) il est plus heureux, son taux de sérotonine est plus grand, vue qu'il a réussit à conquérir le coeur d'une fille hors du lot, alors il dépensera son élixir d'amour d'une façon plus efficace, plus pensée...
Ok...J'pense que j'm'éloigne là...
Je gage que j'aurais été connue à travers le monde à l'heure qu'il est, si au moins je ne suais pas autant.
(Crisse, j'ai même pas été capable de shaker la main de Pépé la dernière fois que je l'ai vu... Moi qui avait prévu le faire en guise d'adieu et pour lui dire comment je l'apprécie depuis la mi novembre. Fuck. Le temps que j'mette mes gants, il était déjà parti. C'est vraiment pas drôle.)
Tout cas, pour revenir à mes moutons, on va aller loin lui pis moi. Ouais c'est un gars...dommage qu'il a un an de moins que moi et que c'est un sale chinese lette qui pue. Dommage.
Mais pour le moment, mes mains font fuir tout le monde and I'm used to it.
Too bad pour moi.
Une vie au collégial remplie de beaux mondes versus une vie dans un 4 et demi remplie de puces à cabot et d'ondes sonores issues d'une table musicale...
jeudi 30 décembre 2010
mercredi 29 décembre 2010
Notre petite Montagne domestique
Hier matin, il faisait soleil, le ciel était clair, d'un bleu éclatant et dépourvu de nuages.
Je regardes dehors par la fenêtre de ma chambre et, d'un coup de tête, j'ai eu envie d'aller grimper le Mont-Royal.
J'appelles mon amie A qui sommeille encore malgré qu'il soit midi moins le quart. Je lui pardonnes, c'est les vacances, après tout. On se donne rendez-vous au métro Mont-Royal en début d'après-midi.
J'arrives légèrement en avance, toute excitée de grimper la montagne. Je m'assois sur le banc à l'entrée, à côté d'une demoiselle. Elle jasait avec un grand monsieur anglophone qui parlait trop fort, m'obligeant à écouter leur petite conversation.
Ils parlent de Dieu, de la religion et des homosexuels (un agencement de sujets qui en dit long).
Le monsieur m'a l'air vraiment inspiré par le sujet, sauf que sa position est un peu dépassée. Figurez-vous qu'il y a encore des gens qui pensent que les gais sont anormaux et qu'ils devraient périr en enfer.
It's evil to think that homosexuals are normal. I mean... God gave to women the faculty to produce milk for babies, not for fun!
We do not hate homosexuals. But we hate the way they think! And if you agree with that perception and think it is normal, then you are evil!
Yeah right! Haha! sans commentaire... Je ris de sa gueule dans mon coin.
Mon amie arrive. On marche un peu sur St-Denis et dirigeons vers la montagne qui nous attend à bras ouverts.
Au pied de la montagne, il y a du monde avec leur luge et d'autres avec leur skis de fond. Ils sont tous habillés en Mountain Equipment pis en Columbia avec leurs bottes à crampons...Ok ok peut-être pas les crampons, mais c'est proche.
On se croirait au Mont Sutton, mais quand je regarde juste en arrière de moi, c'est la ville, avec les grandes rues, les chars, les buildings et tout et tout.
Montréal possède une montagne domestique!
On décide de monter. les sentiers sont magnifiques. C'est blanc tout partout. Des chiens heureux courent dans les sous-bois.
À quelque part en haut, il y a un chalet et une terrasse pour voir la picture de Montréal. Les ballades en auto de m'auraient jamais amené ici. It's astonishingly unbelievable!
On continue notre route vers le Lac des Castors - relativement frigorifiées, mais bon j'ai insisté.
Il y a plein de ti-culs qui glissent avec leur beigne en bas de la colline. Plus loin, il y a d'autres gens qui patinent dans un coin du lac. Ils sont tous pognés comme des sardines, mais ça n'a pas l'air de leur déranger.
Me semble qui fait frette. On attend le bus pour descendre la montagne.
Une chose à dire: c'est le plus bel hivers que j'ai eu dans ma vie. Le froid n'a jamais été aussi romantique.
Faut croire que mes bottes à 300 piastres y sont pour quelque chose.
Bon! y'était bin temps qu'y arrive! ça fait 30 minutes sacrament! Même la p'tite famille américaine a sacré son camp!
Au revoir, Mont-Royal!
P-S: Y'a tu quelqu'un qui sait y'é où le parc Lafontaine? J'ai cherché partout sa montagne...pas là.
Je regardes dehors par la fenêtre de ma chambre et, d'un coup de tête, j'ai eu envie d'aller grimper le Mont-Royal.
J'appelles mon amie A qui sommeille encore malgré qu'il soit midi moins le quart. Je lui pardonnes, c'est les vacances, après tout. On se donne rendez-vous au métro Mont-Royal en début d'après-midi.
J'arrives légèrement en avance, toute excitée de grimper la montagne. Je m'assois sur le banc à l'entrée, à côté d'une demoiselle. Elle jasait avec un grand monsieur anglophone qui parlait trop fort, m'obligeant à écouter leur petite conversation.
Ils parlent de Dieu, de la religion et des homosexuels (un agencement de sujets qui en dit long).
Le monsieur m'a l'air vraiment inspiré par le sujet, sauf que sa position est un peu dépassée. Figurez-vous qu'il y a encore des gens qui pensent que les gais sont anormaux et qu'ils devraient périr en enfer.
It's evil to think that homosexuals are normal. I mean... God gave to women the faculty to produce milk for babies, not for fun!
We do not hate homosexuals. But we hate the way they think! And if you agree with that perception and think it is normal, then you are evil!
Yeah right! Haha! sans commentaire... Je ris de sa gueule dans mon coin.
Mon amie arrive. On marche un peu sur St-Denis et dirigeons vers la montagne qui nous attend à bras ouverts.
Au pied de la montagne, il y a du monde avec leur luge et d'autres avec leur skis de fond. Ils sont tous habillés en Mountain Equipment pis en Columbia avec leurs bottes à crampons...Ok ok peut-être pas les crampons, mais c'est proche.
On se croirait au Mont Sutton, mais quand je regarde juste en arrière de moi, c'est la ville, avec les grandes rues, les chars, les buildings et tout et tout.
Montréal possède une montagne domestique!
On décide de monter. les sentiers sont magnifiques. C'est blanc tout partout. Des chiens heureux courent dans les sous-bois.
À quelque part en haut, il y a un chalet et une terrasse pour voir la picture de Montréal. Les ballades en auto de m'auraient jamais amené ici. It's astonishingly unbelievable!
On continue notre route vers le Lac des Castors - relativement frigorifiées, mais bon j'ai insisté.
Il y a plein de ti-culs qui glissent avec leur beigne en bas de la colline. Plus loin, il y a d'autres gens qui patinent dans un coin du lac. Ils sont tous pognés comme des sardines, mais ça n'a pas l'air de leur déranger.
Me semble qui fait frette. On attend le bus pour descendre la montagne.
Une chose à dire: c'est le plus bel hivers que j'ai eu dans ma vie. Le froid n'a jamais été aussi romantique.
Faut croire que mes bottes à 300 piastres y sont pour quelque chose.
Bon! y'était bin temps qu'y arrive! ça fait 30 minutes sacrament! Même la p'tite famille américaine a sacré son camp!
Au revoir, Mont-Royal!
P-S: Y'a tu quelqu'un qui sait y'é où le parc Lafontaine? J'ai cherché partout sa montagne...pas là.
dimanche 26 décembre 2010
Penser aux tites bines jaunes à lunettes pendant un concert?
J'ai joué à mon premier concert de l'automne 2010.
Étonnamment, je suis arrivée 1h15 en avance - j'avais prévu me perdre.
Avant de partir et aussi pendant mon voyage de métro, j'avais fait de la visualisation. J'imaginais, avec ce que j'ai acquis comme expérience dans mon passé en tant que pianiste active, la scène, avec le grand et majestueux piano à queue blanc de marque Yamaha que ma professeure m'a décrit.
Je me vois monter sur la scène, en tenant ma jupe pour ne pas trébucher, faire le salut et m'installer confortablement sur le banc sous le pesant silence de l'audiance.
Remarquez à quel point j'accorde de l'importance à l'ambiance, à la beauté des choses.
J'avais carréement imaginé des fauteuils rouges, des balcons sur les côtés de la salle et des mosaïques de style Louis XVI sur les murs. Et j'exagère à peine.
C'est alors que j'entre dans le Manoir de Casson - c'est ainsi que ça s'appelle et BANG!
Je tombe sur ma professeure et le fameux piano sur la même occasion. Hmmm...
On n'est pas dans le hall d'entrée? La salle de concert ne devrait- elle pas être au premier ou dans le fond du corridors ou dans le coin du Rez-de-chaussé ou...n'importe où sauf ici? Non mais j'veux dire...on est dans le entrance!!!!!
Ah et puis bof. M'en fous, au moins les chaises ont d'l'air confortables pis la tapisserie est pas si pire.
J'attends l'arrivée des autre pianistes. Je sais bien que la majorité des élèves privés de ma professeure font partie du peuple à peau jaune, mais je m'attends quand même à ce que les spectateurs soient d'une race existant sur R sauf obviously à peau jaune, puisqu'on est dans un secteur de blancs. Pis de toute façon, y'a toujours plus de spectateurs que de pianistes.
Vive la loi de la balance.
Le premier pianiste arrive. C'est un jaune. Puis un autre, et un autre, et...bref, ils arrivent tous à peu près dans la demi heure qui suit. Et c'est tous des jaunes. Des ti-culs, des grands culs, y'en a de toutes les tailles, mais y sont bel et bien tous jaunes. Jaune moutarde, jaune banane, jaune poudre...C'est jaune partout. Je commence à halluciner et je vois des bonhommes de Despicable Me dans ma caboche en permanence depuis ce concert.
Shit. La moitié de l'entrée est remplie et ce sont tous des pianistes et leur famille. Pis les autres? Y sont où? Fallait le dire d'abords que c'est un concert amical où tout le monde se shoot des tounes classiques par-ci par-là et merci bonsoir.
Tout cas. C'était laid. Rien à avoir avec ce que j'ai imaginé et rien à avoir non plus avec les concerts de Yundi Li.
Sur ce, j'ai foiré anyway. Faut croire que mon peuple me pose quelque peu problème. Et ça fuck toute mes skills.
Étonnamment, je suis arrivée 1h15 en avance - j'avais prévu me perdre.
Avant de partir et aussi pendant mon voyage de métro, j'avais fait de la visualisation. J'imaginais, avec ce que j'ai acquis comme expérience dans mon passé en tant que pianiste active, la scène, avec le grand et majestueux piano à queue blanc de marque Yamaha que ma professeure m'a décrit.
Je me vois monter sur la scène, en tenant ma jupe pour ne pas trébucher, faire le salut et m'installer confortablement sur le banc sous le pesant silence de l'audiance.
Remarquez à quel point j'accorde de l'importance à l'ambiance, à la beauté des choses.
J'avais carréement imaginé des fauteuils rouges, des balcons sur les côtés de la salle et des mosaïques de style Louis XVI sur les murs. Et j'exagère à peine.
C'est alors que j'entre dans le Manoir de Casson - c'est ainsi que ça s'appelle et BANG!
Je tombe sur ma professeure et le fameux piano sur la même occasion. Hmmm...
On n'est pas dans le hall d'entrée? La salle de concert ne devrait- elle pas être au premier ou dans le fond du corridors ou dans le coin du Rez-de-chaussé ou...n'importe où sauf ici? Non mais j'veux dire...on est dans le entrance!!!!!
Ah et puis bof. M'en fous, au moins les chaises ont d'l'air confortables pis la tapisserie est pas si pire.
J'attends l'arrivée des autre pianistes. Je sais bien que la majorité des élèves privés de ma professeure font partie du peuple à peau jaune, mais je m'attends quand même à ce que les spectateurs soient d'une race existant sur R sauf obviously à peau jaune, puisqu'on est dans un secteur de blancs. Pis de toute façon, y'a toujours plus de spectateurs que de pianistes.
Vive la loi de la balance.
Le premier pianiste arrive. C'est un jaune. Puis un autre, et un autre, et...bref, ils arrivent tous à peu près dans la demi heure qui suit. Et c'est tous des jaunes. Des ti-culs, des grands culs, y'en a de toutes les tailles, mais y sont bel et bien tous jaunes. Jaune moutarde, jaune banane, jaune poudre...C'est jaune partout. Je commence à halluciner et je vois des bonhommes de Despicable Me dans ma caboche en permanence depuis ce concert.
Shit. La moitié de l'entrée est remplie et ce sont tous des pianistes et leur famille. Pis les autres? Y sont où? Fallait le dire d'abords que c'est un concert amical où tout le monde se shoot des tounes classiques par-ci par-là et merci bonsoir.
Tout cas. C'était laid. Rien à avoir avec ce que j'ai imaginé et rien à avoir non plus avec les concerts de Yundi Li.
Sur ce, j'ai foiré anyway. Faut croire que mon peuple me pose quelque peu problème. Et ça fuck toute mes skills.
mardi 21 décembre 2010
Cher Père Noël
Cette année, j'ai été sage, même si mes parents sont partis vers le sud de la Terre - et non dans le Sud, parce que le Vietnam se trouve au dessus l'Équateur et en conséquent se trouve à être dans le Nord.... J'ai fait tous mes devoirs; que ce soit pour l'école, ou pour payer les factures, sortir le chien, laver la vaisselle, faire le lavage, arroser les orchidées et sortir les poubelles.
Alors pour Noël, j'aimerais avoir un band avec qui je pourrais composer, chanter, jouer du piano et faire des shows...
C'est tu trop demandé?
Merci et à un de ces jours! Et dites bonjour à Mère Noël de ma part!
P-S: Comme j'habites dans un appartement et que des cheminées y'en n'a pas, je laisserai ouverte la fenêtre qui a au dessus de ma baignoire... Ah mais non.
Vous n'auriez pas à venir me voir, parce que des amis, ça ne se met pas dans un sac...ça ne s'achète pas...Ah la la des fois, c'est plus facile de se payer un jouet chez Wal Mart que d'essayer de se rendre heureux manuellement, sans avoir recours au porte-feuilles...
Bon ben désolé, vous m'êtes d'une aucune utilité cette année. À moins que vous ne m'offriez un chars pour mes dix-huit ans! Là, j'y repenserais deux fois!
Alors pour Noël, j'aimerais avoir un band avec qui je pourrais composer, chanter, jouer du piano et faire des shows...
C'est tu trop demandé?
Merci et à un de ces jours! Et dites bonjour à Mère Noël de ma part!
P-S: Comme j'habites dans un appartement et que des cheminées y'en n'a pas, je laisserai ouverte la fenêtre qui a au dessus de ma baignoire... Ah mais non.
Vous n'auriez pas à venir me voir, parce que des amis, ça ne se met pas dans un sac...ça ne s'achète pas...Ah la la des fois, c'est plus facile de se payer un jouet chez Wal Mart que d'essayer de se rendre heureux manuellement, sans avoir recours au porte-feuilles...
Bon ben désolé, vous m'êtes d'une aucune utilité cette année. À moins que vous ne m'offriez un chars pour mes dix-huit ans! Là, j'y repenserais deux fois!
dimanche 19 décembre 2010
En attendant 2012...
Haha.
Je viens de voir un documentaire sur l'Apocalypse du canal D et...mdr.
Il paraît que les Mayas, les Chinois, les Amérindiens, les Grecs, Merlin pis un paquet d'autres mondes ont prédit umanimement que la planète Terre va subir des changements bien pires que météorologiques, et ce, le 21 décembre 2012 très précisément. Les pôles vont changer de place, parce que la Terre va tourner sur elle-même à partir d'une autre axe de rotation.
Dans le passé, ce changement d'axe s'est produit en plusieurs centaines d'années. Mais dans le cas futur, qui n'est d'ailleurs plus très loin, tout cela va changer en aussi peu de temps que d'ici 2012.
Conséquence? la vie terrestre sera balaillée par de nombreuses catastrophes naturelles. Mère Nature, à ce qu'il paraît, ne pardonnerait à personne...ta ta ta tammm... L'extinction de plusieurs espèces animales s'en suivra. De plus, il y aura un changement de la trajectoire circulaire de notre planète.
Et oui, la Terre va sortir de son orbite, ce qui expliquerait l'alignement parfait du Soleil avec la Terre et un trou de la Voie lactée que les astronomes ont découvert tout récemment. On va donc peut-être entrer en collision avec d'autres planètes...
Nous allons tous périr dans un bain de sang!
Ouais.
Je vais demander à mon merveilleux post professeur de physique ce qu'il pense de la prédiction de 2012 au retour des vacances et s'il pense que c'est une sottise, alors c'est parce que s'en est une. Point à la ligne.
En attendant, je dois préparer la liste de mes courses de Noël. Alors on se voit demain à 10h30 au métro Édouard Monpetit, hein, l'amie?
Je viens de voir un documentaire sur l'Apocalypse du canal D et...mdr.
Il paraît que les Mayas, les Chinois, les Amérindiens, les Grecs, Merlin pis un paquet d'autres mondes ont prédit umanimement que la planète Terre va subir des changements bien pires que météorologiques, et ce, le 21 décembre 2012 très précisément. Les pôles vont changer de place, parce que la Terre va tourner sur elle-même à partir d'une autre axe de rotation.
Dans le passé, ce changement d'axe s'est produit en plusieurs centaines d'années. Mais dans le cas futur, qui n'est d'ailleurs plus très loin, tout cela va changer en aussi peu de temps que d'ici 2012.
Conséquence? la vie terrestre sera balaillée par de nombreuses catastrophes naturelles. Mère Nature, à ce qu'il paraît, ne pardonnerait à personne...ta ta ta tammm... L'extinction de plusieurs espèces animales s'en suivra. De plus, il y aura un changement de la trajectoire circulaire de notre planète.
Et oui, la Terre va sortir de son orbite, ce qui expliquerait l'alignement parfait du Soleil avec la Terre et un trou de la Voie lactée que les astronomes ont découvert tout récemment. On va donc peut-être entrer en collision avec d'autres planètes...
Nous allons tous périr dans un bain de sang!
Ouais.
Je vais demander à mon merveilleux post professeur de physique ce qu'il pense de la prédiction de 2012 au retour des vacances et s'il pense que c'est une sottise, alors c'est parce que s'en est une. Point à la ligne.
En attendant, je dois préparer la liste de mes courses de Noël. Alors on se voit demain à 10h30 au métro Édouard Monpetit, hein, l'amie?
vendredi 17 décembre 2010
C'est quoi la différence entre une crêpe et des vacances qui finissent pas?
C'est bel et bien fini.
C'est drôle, au cégep, on dirait qu'il y a quatre ans condensés en 2 années seulement. Ça voudrait dire que je viens de compléter un an d'études au collégial. Ça voudrait aussi dire que j'ai vieilli d'un an.
Impressions? Pas grand chose... Juste le fait que ça passe comme un coup de vent et que je commence à m'affoler intérieurement, parce que le temps me coule entre les craques de doigts. Mais qu'est-ce que je pourrais bien y faire? Rien. Tout simplement. En voilà une, réponse monotone, mais il faut s'y faire, à cette facette de la réalité non négociable.
Et oui, le temps, ça laisse tout le monde impuissant. On accepte tous de le suivre sans protester, pas parce qu'on veut pas, mais parce qu'on peut pas...dommage.
Pis là maintenant viennent les vacances...kessé que j'vas faire, moi pendant un mois de temps? Franchement, j'aurais préféré avoir un break de 2 semaines comme d'habitude puis recommencer à labourer pour en finir au plus vite.
J'ai pas envie de poiroter jour et nuit fois 30 en attendant l'aboutissement de ce relâchement intellectuel ridiculement long, voire même interminable... Ma conscience ne me le permet pas. En tout cas, pas à mon âge. Pfff! Comme si j'avais trop travaillé à en avoir le souffle coupé. N'importe quoi.
Si je n'aime pas les vacances trop longues, c'est soit parce que j'ai reçu un coup de foudre pour le cégep et que je ne peux plus m'en séparer, soit parce que je n'ai rien à foutre de ma vie, surtout depuis que mes parents sont partis hiberner dans le sud de la Terre ou alors c'est parce que je suis trop intravertie dans la vie, ce qui cause la fermeture des portes des bâtisses de divertissements pour les drogués volontaires et/ou les motivés (voyez-le comme vous voulez) me laissant complètement dénudée de pratiquement tous les centres d'intérêts qui auraient pu m'apporter un plaisir temporaire des fêtes.
Mais non. Fallait juste que je sois plate.
Je vais bouffer des crêpes pendant mon mois sabatique non contesté pour rester dans le thème... de la platitude...en lisant The Da Vinci Code.
C'est drôle, au cégep, on dirait qu'il y a quatre ans condensés en 2 années seulement. Ça voudrait dire que je viens de compléter un an d'études au collégial. Ça voudrait aussi dire que j'ai vieilli d'un an.
Impressions? Pas grand chose... Juste le fait que ça passe comme un coup de vent et que je commence à m'affoler intérieurement, parce que le temps me coule entre les craques de doigts. Mais qu'est-ce que je pourrais bien y faire? Rien. Tout simplement. En voilà une, réponse monotone, mais il faut s'y faire, à cette facette de la réalité non négociable.
Et oui, le temps, ça laisse tout le monde impuissant. On accepte tous de le suivre sans protester, pas parce qu'on veut pas, mais parce qu'on peut pas...dommage.
Pis là maintenant viennent les vacances...kessé que j'vas faire, moi pendant un mois de temps? Franchement, j'aurais préféré avoir un break de 2 semaines comme d'habitude puis recommencer à labourer pour en finir au plus vite.
J'ai pas envie de poiroter jour et nuit fois 30 en attendant l'aboutissement de ce relâchement intellectuel ridiculement long, voire même interminable... Ma conscience ne me le permet pas. En tout cas, pas à mon âge. Pfff! Comme si j'avais trop travaillé à en avoir le souffle coupé. N'importe quoi.
Si je n'aime pas les vacances trop longues, c'est soit parce que j'ai reçu un coup de foudre pour le cégep et que je ne peux plus m'en séparer, soit parce que je n'ai rien à foutre de ma vie, surtout depuis que mes parents sont partis hiberner dans le sud de la Terre ou alors c'est parce que je suis trop intravertie dans la vie, ce qui cause la fermeture des portes des bâtisses de divertissements pour les drogués volontaires et/ou les motivés (voyez-le comme vous voulez) me laissant complètement dénudée de pratiquement tous les centres d'intérêts qui auraient pu m'apporter un plaisir temporaire des fêtes.
Mais non. Fallait juste que je sois plate.
Je vais bouffer des crêpes pendant mon mois sabatique non contesté pour rester dans le thème... de la platitude...en lisant The Da Vinci Code.
lundi 13 décembre 2010
C'est pas Toi qui me fera Chier pendant mes Vacances!
35%...Je vais refaire mes numéros du chapitre jusqu'à ce que je crève..!
Imaginez...15 semaines de labours et tout d'un coup, whoosh! tout à la poubelle...Ah ça, y'en n'est pas question!
Imaginez...15 semaines de labours et tout d'un coup, whoosh! tout à la poubelle...Ah ça, y'en n'est pas question!
mercredi 8 décembre 2010
Le plus Beau Merci au Monde...
Je n'en reviens pas de mes capacités pour raisonner... non mais je veux dire vraiment pas.
Pour la première fois de ma vie, une personne est venue me voir moi pour se confier. Elle pleure à chaudes larmes et me racontes ses angoisses.
Je ne rentrerais pas dans les détails, là n'est pas le but.
Je me dis : Ah la la, c'est pas du tout une bonne idée de compter sur moi pour te consoler. Moi je suis juste bonne pour dire des conneries pis empirer les choses...
Elle parle, se confie à moi, sans me regarder, mais ma présence était d'une importance capitale. C'est fou ce que l'écoute réconforte. Un silence très inconfortable s'ensuit. Que faire? ou plutôt... que dire?
J'avais l'impression que ce moment perturbateur allait durer toute la vie. Je lâche alors un soupir de compation, question de lui montrer que je suis là et que je suis avec elle - ce qui est d'ailleurs très vrai.
Une juxtaposition qui dit tout, un peu comme dans l'annonce de Réno-Dépôt avec Normand Brathwaite.
C'est une mission très difficile consoler quelqu'un. C'est difficile, parce que ça nécessite énormément de tactique assez complexe merci. Il faut choisir soigneusement les mots et adopter un ton précis lorsqu'on parle. Il faut avoir un regard tendre, quasiment maternel, qui procure du soulagement, qui dégage de l'affection, qui paraît sérieux, tout en demeurant zen... Et oui, tout ça en même temps!
Et que dire de la posture! Je peux quand même pas m'effoirer pendant qu'elle me parle! j'aurais l'air de totalement m'en contrefoutre! Je ne peux pas non plus rester toute droite comme s'il y avait un balais enfoncé dans le trou du derrière, ça serait trop fake! Ah la la...le body language...ça joue un rôle crucial dans une situation comme celle-ci. Je dirais, pour résumer tout ça, qu'on devrait carrément avoir l'air de Buddha!
Un faux mouvement et c'est un échec et matte.
Cette fois-ci, je ne peux plus rester muette. Il n'y a plus d'excuse, il faut que je dise de quoi...de pertinent.
Pour ceux et celles à qui ça intéresse, voici quelques mots que jai usés pendant la mission:
Mais voyons.../ dis pas ça.../ qu'est ce qui te fait penser ça/ ne prend pas ça au sérieux/ imagine si.../ tu sais c'est quoi le group mentality?/ c'est bien que tu réfléchisses c'est signe de maturité/ il y a toujours un avantage dans un désavantage/ c'est quoi pour toi un fou/ c'est qui eux pour te dire qui tu es! la psy a pas le droit de dire ce que tu dois faire ou être, même pas tes parents! y'a juste toi qui sais, mais il faut juste que t'assumes ce que tu choisis de faire/ t'inquiète pas ça va passer/ ils vont se rendre compte d'eux-même qu'ils sont caves.../ ah les jeunes d'aujourdhui! (...)
J'ai réussit à lui infliger un sourire à quelques reprises...ouf...quel soulagement!
" Peuple d'humanus, jai reussit à persuader une semblable par mes capacités intellectuelles entièrement biologiques."
Bref, selon mon expérience, je crois que lorsqu'on veut consoler une personne, il faut faire appel à notre côté réfléchi, notre gros bon sens. Un peu d'humour ne ferait pas de mal, mais seulement lorsqu'on sent que la personne va mieux. ça détend spectaculairement l'atmosphère.
Elle me dit alors merci ( et ajoute tu devrais devenir psychologue!). Ce merci-là, c'était le plus beau merci que j'ai gagné dans toute ma sainte vie. Ni plus, ni moindre!
Elle me dit ensuite qu'elle ne s'était jamais confiée autant avec qui que ce soit et moi, qui ne suis même pas de la famille ni vraiment son amie, suis son élue.
Ce soir, elle va dormir dans mon lit. Je la bercerai avec la force de ma pensée.
Wouaow...Dieu m'a enfin donné une petite soeur à moi toute seule! Ce Noël, je ne serais plus solitaire. Ce Noël, nous serions deux à gambader dans la neige blanche du parc d'en face. Ce Noël, on irait se geler le cul avec nos Crazy Carpet au Mont-Royal.
Chère fille, je te remercie à toi de m'avoir faite confiance. J'ignorais, avant ta venue, à quel point je comprenais la vie et les êtres humains. C'est aussi la première fois que je ressens un sentiment d'accomplissement comme celui-ci, éthiquement parlant.
Sincèrement merci. Grâce à toi, je reconnais la grandeur de la personne que je suis devenue.
Et je te souhaite de trouver la voie qui te rend heureuse.
Pour la première fois de ma vie, une personne est venue me voir moi pour se confier. Elle pleure à chaudes larmes et me racontes ses angoisses.
Je ne rentrerais pas dans les détails, là n'est pas le but.
Je me dis : Ah la la, c'est pas du tout une bonne idée de compter sur moi pour te consoler. Moi je suis juste bonne pour dire des conneries pis empirer les choses...
Elle parle, se confie à moi, sans me regarder, mais ma présence était d'une importance capitale. C'est fou ce que l'écoute réconforte. Un silence très inconfortable s'ensuit. Que faire? ou plutôt... que dire?
J'avais l'impression que ce moment perturbateur allait durer toute la vie. Je lâche alors un soupir de compation, question de lui montrer que je suis là et que je suis avec elle - ce qui est d'ailleurs très vrai.
Une juxtaposition qui dit tout, un peu comme dans l'annonce de Réno-Dépôt avec Normand Brathwaite.
C'est une mission très difficile consoler quelqu'un. C'est difficile, parce que ça nécessite énormément de tactique assez complexe merci. Il faut choisir soigneusement les mots et adopter un ton précis lorsqu'on parle. Il faut avoir un regard tendre, quasiment maternel, qui procure du soulagement, qui dégage de l'affection, qui paraît sérieux, tout en demeurant zen... Et oui, tout ça en même temps!
Et que dire de la posture! Je peux quand même pas m'effoirer pendant qu'elle me parle! j'aurais l'air de totalement m'en contrefoutre! Je ne peux pas non plus rester toute droite comme s'il y avait un balais enfoncé dans le trou du derrière, ça serait trop fake! Ah la la...le body language...ça joue un rôle crucial dans une situation comme celle-ci. Je dirais, pour résumer tout ça, qu'on devrait carrément avoir l'air de Buddha!
Un faux mouvement et c'est un échec et matte.
Cette fois-ci, je ne peux plus rester muette. Il n'y a plus d'excuse, il faut que je dise de quoi...de pertinent.
Pour ceux et celles à qui ça intéresse, voici quelques mots que jai usés pendant la mission:
Mais voyons.../ dis pas ça.../ qu'est ce qui te fait penser ça/ ne prend pas ça au sérieux/ imagine si.../ tu sais c'est quoi le group mentality?/ c'est bien que tu réfléchisses c'est signe de maturité/ il y a toujours un avantage dans un désavantage/ c'est quoi pour toi un fou/ c'est qui eux pour te dire qui tu es! la psy a pas le droit de dire ce que tu dois faire ou être, même pas tes parents! y'a juste toi qui sais, mais il faut juste que t'assumes ce que tu choisis de faire/ t'inquiète pas ça va passer/ ils vont se rendre compte d'eux-même qu'ils sont caves.../ ah les jeunes d'aujourdhui! (...)
J'ai réussit à lui infliger un sourire à quelques reprises...ouf...quel soulagement!
" Peuple d'humanus, jai reussit à persuader une semblable par mes capacités intellectuelles entièrement biologiques."
Bref, selon mon expérience, je crois que lorsqu'on veut consoler une personne, il faut faire appel à notre côté réfléchi, notre gros bon sens. Un peu d'humour ne ferait pas de mal, mais seulement lorsqu'on sent que la personne va mieux. ça détend spectaculairement l'atmosphère.
Elle me dit alors merci ( et ajoute tu devrais devenir psychologue!). Ce merci-là, c'était le plus beau merci que j'ai gagné dans toute ma sainte vie. Ni plus, ni moindre!
Elle me dit ensuite qu'elle ne s'était jamais confiée autant avec qui que ce soit et moi, qui ne suis même pas de la famille ni vraiment son amie, suis son élue.
Ce soir, elle va dormir dans mon lit. Je la bercerai avec la force de ma pensée.
Wouaow...Dieu m'a enfin donné une petite soeur à moi toute seule! Ce Noël, je ne serais plus solitaire. Ce Noël, nous serions deux à gambader dans la neige blanche du parc d'en face. Ce Noël, on irait se geler le cul avec nos Crazy Carpet au Mont-Royal.
"Have yourself a merry little Christmas
let your heart be light
from now on our troubles will be out of sight"
Chère fille, je te remercie à toi de m'avoir faite confiance. J'ignorais, avant ta venue, à quel point je comprenais la vie et les êtres humains. C'est aussi la première fois que je ressens un sentiment d'accomplissement comme celui-ci, éthiquement parlant.
Sincèrement merci. Grâce à toi, je reconnais la grandeur de la personne que je suis devenue.
Et je te souhaite de trouver la voie qui te rend heureuse.
vendredi 26 novembre 2010
C'est ça qui arrive quand tu sais pas quoi écrire sur ton blogue
Plan de match pour les 2 semaines restantes:
Lire le pamphlet d'espagnol
Étudier pour l'examen d'espagnol
Préparer l'oral d'espagnol
Étudier pour l'examen sur les procédés d'écriture qui vaut pour 35% (elle est dingue!)
Préparer l'oral d'anglais
Travailler sur les chapitres 7 et 8 en physique plus révision
Travailler sur le dernier chapitre en math
Étudier la théorie de sauvetage
FIN DE SESSION!!!!!!!!!
Lire le pamphlet d'espagnol
Étudier pour l'examen d'espagnol
Préparer l'oral d'espagnol
Étudier pour l'examen sur les procédés d'écriture qui vaut pour 35% (elle est dingue!)
Préparer l'oral d'anglais
Travailler sur les chapitres 7 et 8 en physique plus révision
Travailler sur le dernier chapitre en math
Étudier la théorie de sauvetage
FIN DE SESSION!!!!!!!!!
mardi 23 novembre 2010
Harry Potter et le Rapport de Labo
Aujourd'hui fut une journée grise et pluvieuse. Quel temps pour boycotter!
J'arrive au collège vers 8h. Il pleut de grosses gouttes et on peut entendre des étudiants motivés meme du métro. Je sais bien que les cours sont levés pour la journée, mais je décides quand même de venir voir de quoi ça a l'air une grève étudiante.
Résultat, rien d'intéressant, autre que des hippies qui boycottent devant les portent du collège.
Je fais demi tour vers le métro. J'arrive chez moi vers 8h30 et fonce directement dans mon lit. Je sommeille jusqu'à 11h40! Cette fois-ci, je pense que j'ai abusé.
J'ouvre l'ordi et regarde mes courriels. Y'a ma coéquipière qui a son voyage de faire le rapport de labo et qui m'apprend que c'est à remettre pour demain. Ah ben merde alors. Y'a aussi catherine qui m'attend pour 2h30. On va voir Harry Potter.
Son courriel m'a toute mise à l'envers. Je me suis sentie tellement mal et suis allée rejoindre mon amie avec le coeur lourd comme une poche de briques. Mais bon. The show must go on comme le dit si bien Pépé. J'ai bien profité de mon après-midi au ciné.
Ma critique du film est assez bonne. J.J Rowling a carrément skippé Hogwarts, mais y paraît qu'ils vont finir par y aller à la fin. Y'a Ron qui a été un phénomème! Ah pis y'a Hermione qui est full bien habillée durant tout le film. Tout cas, je vous dis que le spotlight est sur Rupert et que celui-ci a joué comme il n'a jamais joué son rôle auparavant. Brilliant!
****
Maintenant qu'on s'est bien amusé, j'vais aller me pendre pour mon lab. Harry Potter m'aurait été fort bien utile avec sa baguette though... pas pour me pendre, mais pour faire le rapport...
J'arrive au collège vers 8h. Il pleut de grosses gouttes et on peut entendre des étudiants motivés meme du métro. Je sais bien que les cours sont levés pour la journée, mais je décides quand même de venir voir de quoi ça a l'air une grève étudiante.
Résultat, rien d'intéressant, autre que des hippies qui boycottent devant les portent du collège.
Je fais demi tour vers le métro. J'arrive chez moi vers 8h30 et fonce directement dans mon lit. Je sommeille jusqu'à 11h40! Cette fois-ci, je pense que j'ai abusé.
J'ouvre l'ordi et regarde mes courriels. Y'a ma coéquipière qui a son voyage de faire le rapport de labo et qui m'apprend que c'est à remettre pour demain. Ah ben merde alors. Y'a aussi catherine qui m'attend pour 2h30. On va voir Harry Potter.
Son courriel m'a toute mise à l'envers. Je me suis sentie tellement mal et suis allée rejoindre mon amie avec le coeur lourd comme une poche de briques. Mais bon. The show must go on comme le dit si bien Pépé. J'ai bien profité de mon après-midi au ciné.
Ma critique du film est assez bonne. J.J Rowling a carrément skippé Hogwarts, mais y paraît qu'ils vont finir par y aller à la fin. Y'a Ron qui a été un phénomème! Ah pis y'a Hermione qui est full bien habillée durant tout le film. Tout cas, je vous dis que le spotlight est sur Rupert et que celui-ci a joué comme il n'a jamais joué son rôle auparavant. Brilliant!
****
Maintenant qu'on s'est bien amusé, j'vais aller me pendre pour mon lab. Harry Potter m'aurait été fort bien utile avec sa baguette though... pas pour me pendre, mais pour faire le rapport...
Séance de déniaisage
Jean-Paul Sartre est mon toutou personnel. Je crois qu'il aime les fruits confits. Amen.
God's gift to humanity: l'oreille gauche de Thérèse. God's gift to the world: la paupière inférieure droite du chien à Thérèse.
J'développe une peau de poulet au cou!
Je suis une pomme, mais la fenêtre est coupable. C'est un train.
Quand la neige tombe, les roses embarquent.
Henri VIII est mon papa, puisque ma mère est la Muraille de Chine.
Que le Brownie bénisse tes guimauves.
FBI (Flatte le Briquet Imbécile)
Mon chien est le meilleur chimpanzé au monde!
Je serai dimplômée pour ma présence et mon sourire.
J'aime le blé d'Inde et les Africains.
Les chocolats Lindt, c'est comme les crayons Steadtler.
J'aime le fudge arabe.
Le rêve des Terriens: une année sabatique
Le mot le plus laid: brun
But de la vie: rentrer à la maison
****
Ah! que de bons souvenirs dans le cours de physique avec Mme. Taquet!
God's gift to humanity: l'oreille gauche de Thérèse. God's gift to the world: la paupière inférieure droite du chien à Thérèse.
J'développe une peau de poulet au cou!
Je suis une pomme, mais la fenêtre est coupable. C'est un train.
Quand la neige tombe, les roses embarquent.
Henri VIII est mon papa, puisque ma mère est la Muraille de Chine.
Que le Brownie bénisse tes guimauves.
FBI (Flatte le Briquet Imbécile)
Mon chien est le meilleur chimpanzé au monde!
Je serai dimplômée pour ma présence et mon sourire.
J'aime le blé d'Inde et les Africains.
Les chocolats Lindt, c'est comme les crayons Steadtler.
J'aime le fudge arabe.
Le rêve des Terriens: une année sabatique
Le mot le plus laid: brun
But de la vie: rentrer à la maison
****
Ah! que de bons souvenirs dans le cours de physique avec Mme. Taquet!
samedi 20 novembre 2010
Quand les maths ne sont pas de la physique...
Au menu:
Les 5 derniers points se basent tous sur la même espèce d'affaire...le nombre critique...Me semble que c'est pas nécessaire d'avoir la tête à Papineau pour catcher tout ça! Pourtant, jai l'impression que ça me passe dans l'beurre.
- coût marginal instantanné
- revenu marginal instantanné
- règle de la tangente et de la normale
- croissance/décroissance
- min/max
- concavité
- optimisation
- construction de courbes
Les 5 derniers points se basent tous sur la même espèce d'affaire...le nombre critique...Me semble que c'est pas nécessaire d'avoir la tête à Papineau pour catcher tout ça! Pourtant, jai l'impression que ça me passe dans l'beurre.
jeudi 18 novembre 2010
À noter: tous les jeudis vers 3h45
Qu'est-ce qu'y'a!
D'Arcy m'avait donné quelques coups de coude subtiles avant que je ne réalise qu'Il est juste derrière moi. Je me retourne, le coeur voulant me sortir de la poitrine. J'avais deviné ce qui était en train de m'arriver.
Viouu! Il passe à quelques centimètres quasiment négligeables de moi, avant même que mon cerveau n'ait reçu l'influx transportant ce que mes yeux ont capté quelques secondes plus tôt.
Cette fois-ci, mon coeur fait pire que battre. Il frappe. C'est comme si je venais de prendre un redbull mixé avec du Whisky et que mes yeux voulaient me sortir de la tête. À ce moment-là, je ne voyais plus rien. Toute ma conscience était concentrée sur ma Proie.
Ok ben bye, Catherine! dit D'Arcy qui semble être consciente que y'a une fille qui va filer vers la porte avec beaucoup d'enthousiaste.
Je sors en marche rapide. Y'a de la bave qui jaïs en abondance de mes amygdales. En ouvrant la porte, mon sac frappe je-ne-sais-quoi et fait un bruit. Personnellement je n'ai rien entendu, mais Lui, Il avait l'air de penser qu'Il venait de faire planter quelqu'un en sortant sans tenir la porte.
Il se retourne et tombe directement dans mon regard. Il a l'air dérangé et m'a dévisagée. Je pensais qu'il allait me faire sentir sa légère frustration, mais Il me demande: Ça vas?
Huh..? ouais! Voir qu'Il pense qu'Il m'a plaquée... haha!
Il continue sa route et c'est reparti!
Je marche en lâchant quelques sacres de joie, réalisant ce qui est en train de m'arriver. Le Ciel vient de me tomber sur la tête!
Il traverse la rue, and so we.
Il dépasse quelques étudiants... and so we.
Il augmente légèrement le pas...and so we.
Il traverse une autre rue lorsqu'il ne reste que 2 secondes avant la rouge... and so I.
- sincèrement désolée, D'Arcy!
À ce moment-là, je commence à jogger. Pas question de Le perdre!
( Il est tellement beau quand il marche avec son p'tit manteau de feutre tight, ses gants pis son side bag! Y'é fuckin fancy!)
Je Le vois entrer dans le métro. Je décides enfin de courir. J'entre à mon tours, puis ne Le vois plus... AARGH! Je fais un super sprint en descendant les escaliers. Rendue en bas, je Le vois filer à toute vitesse. Le métro est arrivé.
Je réalise subitement que si je ne bouge pas, je vais Le perdre pour de bon.
L'adrénaline atteint alors son plus haut sommet, m'obligeant de courir à la vie, à la mort.
Je descend encore les escaliers, juste en arrière de Lui. Il entre dans le wagon. J'ai cru pour un moment que c'était foutu, les portes vont me fermer au nez et Il partira sans moi.
Mais non. Je suis une personne trop ambitieuse pour abandonner de si peu. Je décides donc de foncer et me pitch tête première dans le wagon, juste quand les portières étaient déjà fermées au un quart.
J'ouvre grand mes yeux. Tous mes sens sont éveillés. Je tombe drette devant Lui. Il me regarde un instant et on se sourit niaiseusement.
Il s'assoit. Je me dirige vers le siège double se trouvant à sa gauche. Je m'assois et sors mon mp3. Je choisis d'écouter une toune de Coldplay, question de donner un peu d'ambiance à cette histoire.
Je lève discrètement les yeux. Il est las, sa tête est balancée à 45 degrés en arrière: Il dors. Sur ses genoux se trouve son livre The Quantum Energy ( le même bouquin que mardi, lorsqu'on écrivait notre quiz 2). Il tient un gros surligneur jaune dans sa main droite, prêt à passer à l'acte, lorsqu'il va se réveiller.
Je le regarde. Juste Lui. On est maintenant au métro Namur et toujours pas réveillé. Ah ce qu'il est mignon! Je chantonne intérieurement la berceuse de Brahms en ricannant.
Enfin, il nous revient. Y'était temps! on est au métro Plamondon! Il se tourne vers moi et je fais semblant de dormir. J'ouvre un oeil et le vois lire son livre. J'ouvre l'autre oeil et Il se tourne encore vers moi. Je me rendors. (Sti dans quoi j'me suis embarquée!)
Métro Snowdon. Je descend ou je descend pas?
Non non non. Y'en n'est pas question! J'peux pas Le quitter mainteant ça serait trop dommage! De toute façon, il est trop tard. Les portières se ferment. Je retourne à ma préoccupation. Esti que j'ai pas de vie! Le pire c'est qu'y faut que je fasse des math, moi! Chu vraiment pas supposée avoir du temps à perdre!Grosse conne!
Le voyage continue. Il est encore en train de dormir. Ah qu'il est beau! Quel adorable petit garçon nerd.
La madame à côté de moi se demande ce que je fixe comme ça et regarde ma cible. Eille, j'regarde c'que j'veux!
Voire que je vais faire toute la ligne orange juste pour Lui! Tout cas, Il en a une, Lui admiratrice secrète!
Bon. Je sais que c'est l'heure de pointe et que y'a pas de place pour des espaces vides, mais crisse! Pourquoi le gros ganster qui vient d'embarquer a mis son gros cul là! Je me lève - eh oui, quand il faut se sacrifier, il faut se sacrifier!
Je me tiens à la barre sur les portières qui se trouve juste à côté de Lui. Je Le regarde. Encore.
Métro Berri-Uqam. Je décides de débarquer. J'ai décidé de mettre fin à cette niaiserie, parce que je ne veux pas Le suivre jusqu'à sa demeure. Ce serait trop malsain de ma part.
Et c'est pour ça que je suis fière de moi.
Y'a quand même des limites pour tout, même pour des garces comme moi qui trippent sur des estis de profs ignorants.
D'Arcy m'avait donné quelques coups de coude subtiles avant que je ne réalise qu'Il est juste derrière moi. Je me retourne, le coeur voulant me sortir de la poitrine. J'avais deviné ce qui était en train de m'arriver.
Viouu! Il passe à quelques centimètres quasiment négligeables de moi, avant même que mon cerveau n'ait reçu l'influx transportant ce que mes yeux ont capté quelques secondes plus tôt.
Cette fois-ci, mon coeur fait pire que battre. Il frappe. C'est comme si je venais de prendre un redbull mixé avec du Whisky et que mes yeux voulaient me sortir de la tête. À ce moment-là, je ne voyais plus rien. Toute ma conscience était concentrée sur ma Proie.
Ok ben bye, Catherine! dit D'Arcy qui semble être consciente que y'a une fille qui va filer vers la porte avec beaucoup d'enthousiaste.
Je sors en marche rapide. Y'a de la bave qui jaïs en abondance de mes amygdales. En ouvrant la porte, mon sac frappe je-ne-sais-quoi et fait un bruit. Personnellement je n'ai rien entendu, mais Lui, Il avait l'air de penser qu'Il venait de faire planter quelqu'un en sortant sans tenir la porte.
Il se retourne et tombe directement dans mon regard. Il a l'air dérangé et m'a dévisagée. Je pensais qu'il allait me faire sentir sa légère frustration, mais Il me demande: Ça vas?
Huh..? ouais! Voir qu'Il pense qu'Il m'a plaquée... haha!
Il continue sa route et c'est reparti!
Je marche en lâchant quelques sacres de joie, réalisant ce qui est en train de m'arriver. Le Ciel vient de me tomber sur la tête!
Il traverse la rue, and so we.
Il dépasse quelques étudiants... and so we.
Il augmente légèrement le pas...and so we.
Il traverse une autre rue lorsqu'il ne reste que 2 secondes avant la rouge... and so I.
- sincèrement désolée, D'Arcy!
À ce moment-là, je commence à jogger. Pas question de Le perdre!
( Il est tellement beau quand il marche avec son p'tit manteau de feutre tight, ses gants pis son side bag! Y'é fuckin fancy!)
Je Le vois entrer dans le métro. Je décides enfin de courir. J'entre à mon tours, puis ne Le vois plus... AARGH! Je fais un super sprint en descendant les escaliers. Rendue en bas, je Le vois filer à toute vitesse. Le métro est arrivé.
Je réalise subitement que si je ne bouge pas, je vais Le perdre pour de bon.
L'adrénaline atteint alors son plus haut sommet, m'obligeant de courir à la vie, à la mort.
Je descend encore les escaliers, juste en arrière de Lui. Il entre dans le wagon. J'ai cru pour un moment que c'était foutu, les portes vont me fermer au nez et Il partira sans moi.
Mais non. Je suis une personne trop ambitieuse pour abandonner de si peu. Je décides donc de foncer et me pitch tête première dans le wagon, juste quand les portières étaient déjà fermées au un quart.
J'ouvre grand mes yeux. Tous mes sens sont éveillés. Je tombe drette devant Lui. Il me regarde un instant et on se sourit niaiseusement.
Il s'assoit. Je me dirige vers le siège double se trouvant à sa gauche. Je m'assois et sors mon mp3. Je choisis d'écouter une toune de Coldplay, question de donner un peu d'ambiance à cette histoire.
Je lève discrètement les yeux. Il est las, sa tête est balancée à 45 degrés en arrière: Il dors. Sur ses genoux se trouve son livre The Quantum Energy ( le même bouquin que mardi, lorsqu'on écrivait notre quiz 2). Il tient un gros surligneur jaune dans sa main droite, prêt à passer à l'acte, lorsqu'il va se réveiller.
Je le regarde. Juste Lui. On est maintenant au métro Namur et toujours pas réveillé. Ah ce qu'il est mignon! Je chantonne intérieurement la berceuse de Brahms en ricannant.
Enfin, il nous revient. Y'était temps! on est au métro Plamondon! Il se tourne vers moi et je fais semblant de dormir. J'ouvre un oeil et le vois lire son livre. J'ouvre l'autre oeil et Il se tourne encore vers moi. Je me rendors. (Sti dans quoi j'me suis embarquée!)
Métro Snowdon. Je descend ou je descend pas?
Non non non. Y'en n'est pas question! J'peux pas Le quitter mainteant ça serait trop dommage! De toute façon, il est trop tard. Les portières se ferment. Je retourne à ma préoccupation. Esti que j'ai pas de vie! Le pire c'est qu'y faut que je fasse des math, moi! Chu vraiment pas supposée avoir du temps à perdre!Grosse conne!
Le voyage continue. Il est encore en train de dormir. Ah qu'il est beau! Quel adorable petit garçon nerd.
La madame à côté de moi se demande ce que je fixe comme ça et regarde ma cible. Eille, j'regarde c'que j'veux!
Voire que je vais faire toute la ligne orange juste pour Lui! Tout cas, Il en a une, Lui admiratrice secrète!
Bon. Je sais que c'est l'heure de pointe et que y'a pas de place pour des espaces vides, mais crisse! Pourquoi le gros ganster qui vient d'embarquer a mis son gros cul là! Je me lève - eh oui, quand il faut se sacrifier, il faut se sacrifier!
Je me tiens à la barre sur les portières qui se trouve juste à côté de Lui. Je Le regarde. Encore.
Métro Berri-Uqam. Je décides de débarquer. J'ai décidé de mettre fin à cette niaiserie, parce que je ne veux pas Le suivre jusqu'à sa demeure. Ce serait trop malsain de ma part.
Et c'est pour ça que je suis fière de moi.
Y'a quand même des limites pour tout, même pour des garces comme moi qui trippent sur des estis de profs ignorants.
mardi 16 novembre 2010
Feedback d'examen poche
Je vous le dis, l'examen est vraiment facile! Si j'avais pu, je l'aurais réécrit pendant le weekend, mais il était trop tard, les examens étaient déjà imprimés..! J'ai quasiment «honte» de vous le montrer! En tout cas, si vous coulez celui-là... ben y'a plus rien à dire!
(Ouais, ouais c'est ça! Ta gueule, on n'a pas ta tête! J'vas me méfier, moi!)
Il distribue les examens en grimaçant. Ah j'ai honte!
Je reçois le mien et vois 3 vulgaires questions...Un examen long d'un recto de page pis on a 2 grosses heures pour le faire! Ça promet!
Je lis, en me méfiant comme prévu:
Vous laissez tomber une masse de 14 kg sur la place Ville-Marie. Celle-ci tombe de 188m et frappe le sol à une vitesse de 45.7 m/s. Quelle est la force de friction de l'air?
Bon. Il commence un peu molo - un peu trop à mon goût, parce que c'est le commencement... ça va sûrement se corcer dans pas long.
No. 2 : un problème qui ne concidère aucunement le frottement ni la friction de l'air!
Non mais ça va pas?
Je commence à penser à ce qui a bien pu lui passer par la tête...Y me niaise tu?
No. 3 - et dernier no. : une affaire de concervation de la quantité de mouvement (po = pf)... qui s'applique à 2 masses se déplaçant uniquement sur l'axe des x...pis encore un fois, y'a pas de frottement!!!! (!"$%)
Eille! t'aurais pu te forcer pour nous faire un examen qui a d'l'allure! Je peux tu sawoir c'qui t'as pris?? Tout cas, j'en connais un qui est amoureux en cimonak au point d'en perdre raison! J'vas y parler, moi à ta femme! Faut qu'elle arrête de te droguer de même!
Hey D'arcy! La prochaine fois, tu peux tu regarder ce qu'il met dans son panier?
Je fais le numéro avec mauvaise humeur... ce quiz-là commence à sérieusement m'irriter...
Je lève la tête pour checker ce que le prof fabrique. Il scrute la classe puis finit par me regarder. Je profite de l'occasion pour lui jetter des couteaux du regard puis retourne à mes moutons qui font la grève tellement c'est facile.
Ça se peut tu! Crisse, j'ai consacré tellement de temps pour me préparer à cet examen-là, pis je finis avec une shit qui vaut même pas d'la shit.
C'est une insulte! une provocation! un scandale! Me semble qu'il existe des façons plus logiques et moins abusives pour être gentil.
Je suis partie sans attendre mes amies et ce n'est pas dans mes habitudes. Osti qu'il me déçoit, osti que je suis frue et osti que j'ai besoin de prendre l'air.
En tout cas, t'as ben raison d'avoir honte, le zouf!
(Eh oui j'parle bien de mon cher prof de physique! J'vous dis que des fois, il déconne, mais je l'aime pareille!)
(Ouais, ouais c'est ça! Ta gueule, on n'a pas ta tête! J'vas me méfier, moi!)
Il distribue les examens en grimaçant. Ah j'ai honte!
Je reçois le mien et vois 3 vulgaires questions...Un examen long d'un recto de page pis on a 2 grosses heures pour le faire! Ça promet!
Je lis, en me méfiant comme prévu:
Vous laissez tomber une masse de 14 kg sur la place Ville-Marie. Celle-ci tombe de 188m et frappe le sol à une vitesse de 45.7 m/s. Quelle est la force de friction de l'air?
Bon. Il commence un peu molo - un peu trop à mon goût, parce que c'est le commencement... ça va sûrement se corcer dans pas long.
No. 2 : un problème qui ne concidère aucunement le frottement ni la friction de l'air!
Non mais ça va pas?
Je commence à penser à ce qui a bien pu lui passer par la tête...Y me niaise tu?
No. 3 - et dernier no. : une affaire de concervation de la quantité de mouvement (po = pf)... qui s'applique à 2 masses se déplaçant uniquement sur l'axe des x...pis encore un fois, y'a pas de frottement!!!! (!"$%)
Eille! t'aurais pu te forcer pour nous faire un examen qui a d'l'allure! Je peux tu sawoir c'qui t'as pris?? Tout cas, j'en connais un qui est amoureux en cimonak au point d'en perdre raison! J'vas y parler, moi à ta femme! Faut qu'elle arrête de te droguer de même!
Hey D'arcy! La prochaine fois, tu peux tu regarder ce qu'il met dans son panier?
Je fais le numéro avec mauvaise humeur... ce quiz-là commence à sérieusement m'irriter...
Je lève la tête pour checker ce que le prof fabrique. Il scrute la classe puis finit par me regarder. Je profite de l'occasion pour lui jetter des couteaux du regard puis retourne à mes moutons qui font la grève tellement c'est facile.
Ça se peut tu! Crisse, j'ai consacré tellement de temps pour me préparer à cet examen-là, pis je finis avec une shit qui vaut même pas d'la shit.
C'est une insulte! une provocation! un scandale! Me semble qu'il existe des façons plus logiques et moins abusives pour être gentil.
Je suis partie sans attendre mes amies et ce n'est pas dans mes habitudes. Osti qu'il me déçoit, osti que je suis frue et osti que j'ai besoin de prendre l'air.
En tout cas, t'as ben raison d'avoir honte, le zouf!
(Eh oui j'parle bien de mon cher prof de physique! J'vous dis que des fois, il déconne, mais je l'aime pareille!)
lundi 15 novembre 2010
Juste comme ça...
Vous aimez mieux faire des conneries ou ne rien faire du tout?
Me semble que si j'avais pas perdu mon temps à niaiser avec mes devoirs de math, je me serais acheté une bonne grosse poutine pis ça serait un ti moment de bonheur de plus dans ma vie.
Faque...maudit que je m'haïs!
Me semble que si j'avais pas perdu mon temps à niaiser avec mes devoirs de math, je me serais acheté une bonne grosse poutine pis ça serait un ti moment de bonheur de plus dans ma vie.
Faque...maudit que je m'haïs!
dimanche 14 novembre 2010
Farme ta yeule, j'veux po y aller!
Aujourd'hui, je vais aller me cacher dans la bibliothèque de Berri... pour rattrapper mon léger retard en math et réviser ma physique...
Mais c'est aussi pour foxer mon cours de sauvetage. Imaginez-vous qu'ils nous ont prévu un cours où on doit se pitcher dans la piscine tout habillé pis apprendre à se faire une bouée avec nos vêtements! J'avoue que ça a l'air cool dit de même, mais câline que ça va être lette.
En tout cas, va falloir que je décides si j'y vais ou pas...j'ai jusqu'à midi...
Pfff...tant qu'à y être, j'va me décider maintenant...
J'vais y aller à moitié! Je ferais mon cours théorique pis j'va décrisser après! - Pour aller me cacher à la biblio..!
Ah et pis d'la marde! j'vais y aller à c'te cours là! t'es tu contente là la p'tite voix?
Mais c'est aussi pour foxer mon cours de sauvetage. Imaginez-vous qu'ils nous ont prévu un cours où on doit se pitcher dans la piscine tout habillé pis apprendre à se faire une bouée avec nos vêtements! J'avoue que ça a l'air cool dit de même, mais câline que ça va être lette.
En tout cas, va falloir que je décides si j'y vais ou pas...j'ai jusqu'à midi...
Pfff...tant qu'à y être, j'va me décider maintenant...
J'vais y aller à moitié! Je ferais mon cours théorique pis j'va décrisser après! - Pour aller me cacher à la biblio..!
Ah et pis d'la marde! j'vais y aller à c'te cours là! t'es tu contente là la p'tite voix?
samedi 13 novembre 2010
Done Elvire VS. Don Juan 2010
Marie- Bob: Arrête de vivre comme tu vis. Tu pourris le coeur des autres femmes, tu pourris le mien.
Quand tu m'avais cruisée la première fois, j'étais naïve. Tes manières me transportaient sur les nuages. Mais depuis que tu es parti, plusieurs de mes amies qui étaient enivrées par des âneries flatteuses de je-ne-sais-qui, sont maintenant complètement dévastées.
Tu te rappelles de Vanessa et de Cassandre? Évidemment que oui, t'as couché avec!- ah les salopes! Suis-je sotte! - Ben elles arrêtaient plus de s'empiffrer de mes yogourts Activia...Mon défi deux semaines s'était planté solide pendant leur peine d'amour qui a duré pas moins de trente pots. Il fallait donc que j'aille faire un refill chez Provigo, puis la dame d'à côté m'a suggérée d'aller chez Costco, vue la quantité titanesque de yogourts dans mon chariot - elle dit que c'est plus rentable...
Tu sais pas comment ça me fait chier de devoir m'occuper d'eux autre. Surtout que c'est à cause d'elles que j'échoue mon super défi, qui n'a pourtant jamais été mis à l'eau auparavant...Mais attend un peu...auparavant...depuis quand précisément? Ben depuis que t'as crissé ton camp, s't'affaire! Câline que je suis retardée! - pardonne-moi, j'ai pas eu le temps de prendre mon café suprême à matin, mais à côté de ce que tu as fait, c'est comme un atome du C6H12O6 qui est supposé flotter dans mon café!
C'est alors que des liens se forment dans ma tête... Christ, t'es un salaud! Un mautadit de sale bâtard!
Sérieux, il faut que t'arrêtes de niaiser là, ça se peut juste pas comment tu rendrais service à l'espèce humaine. On serait encore plus reconnaissant que si un beau jour tous les McDo du coin nous distribuaient des ipod touch dans leurs Joyeux Festins. Même Dieu repousserait la date de l'Apocalypse tellement y serait ému.
S'il-te-plais, fais-le pas juste pour moi, mais au nom du peuple terrestre! Fais-le pour Vanessa et Cassandre! Épargne mes tits pots! l'essence des camions Activia! Sauve la planète des GES!
Pense aux vaches pis aux tits Africains qui ont pas de lait! Au pire, implique-toi à Oxfam!
Christ: Tu voulais un ipod touch? Viens dans mon chars, ma poule, on s'en va chez chez Best Buy, pis j'vas te commander un beau gros BigMac tusuite après!
(Marie-Bob sort un calibre 32 de sa saccoche et se tire une balle dans le tympan sans dire adieu à la vie, encore moins à Christ.)
****
Bin quoi! La profe de français avait dit qu'on devait être original pis que ce devoir là était juste pour le fun! Ben justement, pour me marrer, je me suis bien marrée!!
Quand tu m'avais cruisée la première fois, j'étais naïve. Tes manières me transportaient sur les nuages. Mais depuis que tu es parti, plusieurs de mes amies qui étaient enivrées par des âneries flatteuses de je-ne-sais-qui, sont maintenant complètement dévastées.
Tu te rappelles de Vanessa et de Cassandre? Évidemment que oui, t'as couché avec!- ah les salopes! Suis-je sotte! - Ben elles arrêtaient plus de s'empiffrer de mes yogourts Activia...Mon défi deux semaines s'était planté solide pendant leur peine d'amour qui a duré pas moins de trente pots. Il fallait donc que j'aille faire un refill chez Provigo, puis la dame d'à côté m'a suggérée d'aller chez Costco, vue la quantité titanesque de yogourts dans mon chariot - elle dit que c'est plus rentable...
Tu sais pas comment ça me fait chier de devoir m'occuper d'eux autre. Surtout que c'est à cause d'elles que j'échoue mon super défi, qui n'a pourtant jamais été mis à l'eau auparavant...Mais attend un peu...auparavant...depuis quand précisément? Ben depuis que t'as crissé ton camp, s't'affaire! Câline que je suis retardée! - pardonne-moi, j'ai pas eu le temps de prendre mon café suprême à matin, mais à côté de ce que tu as fait, c'est comme un atome du C6H12O6 qui est supposé flotter dans mon café!
C'est alors que des liens se forment dans ma tête... Christ, t'es un salaud! Un mautadit de sale bâtard!
Sérieux, il faut que t'arrêtes de niaiser là, ça se peut juste pas comment tu rendrais service à l'espèce humaine. On serait encore plus reconnaissant que si un beau jour tous les McDo du coin nous distribuaient des ipod touch dans leurs Joyeux Festins. Même Dieu repousserait la date de l'Apocalypse tellement y serait ému.
S'il-te-plais, fais-le pas juste pour moi, mais au nom du peuple terrestre! Fais-le pour Vanessa et Cassandre! Épargne mes tits pots! l'essence des camions Activia! Sauve la planète des GES!
Pense aux vaches pis aux tits Africains qui ont pas de lait! Au pire, implique-toi à Oxfam!
Christ: Tu voulais un ipod touch? Viens dans mon chars, ma poule, on s'en va chez chez Best Buy, pis j'vas te commander un beau gros BigMac tusuite après!
(Marie-Bob sort un calibre 32 de sa saccoche et se tire une balle dans le tympan sans dire adieu à la vie, encore moins à Christ.)
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Bin quoi! La profe de français avait dit qu'on devait être original pis que ce devoir là était juste pour le fun! Ben justement, pour me marrer, je me suis bien marrée!!
vendredi 12 novembre 2010
Première leçon
Je sens croître une motivation inébranlable pour étudier le langage censuré! C'est fou ce que ça inspire!
C'est tellement...enrichissant...tout un monde à découvrir! J'adore!
Pour finir la semaine avec un double exel, commençons par le commencement. Voici donc la première leçon à déguster :
http://www.youtube.com/watch?v=o6-g6LNIWrs
(Merci, Karine pour ta précieuse collaboration! :P)
C'est tellement...enrichissant...tout un monde à découvrir! J'adore!
Pour finir la semaine avec un double exel, commençons par le commencement. Voici donc la première leçon à déguster :
http://www.youtube.com/watch?v=o6-g6LNIWrs
(Merci, Karine pour ta précieuse collaboration! :P)
jeudi 11 novembre 2010
Un soir, je me suis assise et j'ai pensé...
Il fait trop beau à mon goût. Me semble qu'il fait trop chaud et c'est pourtant le mois de novembre...
Il est trop tôt à mon goût. Pourtant, j'ai pas hâte que ça finisse. Les minutes filent beaucoup trop vite et je n'ai le temps de rien faire...
Pourtant, quand le temps passe trop lentement, c'est comme si on m'avait buzzée.
Les jours de pluie, ça m'ennuis, mais quand le soleil se montre, je sais pas comment en profiter.
Le problème c'est que quand je sais plus quoi faire, quand je suis prise entre le faire et ne pas faire ou le faire ceci ou faire cela, je m'effoire, je craque. Capoute. Je lâche tout et vais me coucher en espérant que les choses vont se rétablir d'elles-même à mon réveil.
L'autre problème, c'est qu'à mon réveil, les choses ne se rétablissent pas...elles s'accumulent. Rendue à ce point là, je commence à regretter le passé. J'angoisse. C'est laid à voir et je ne souhaite rien de mieux que de me sublimer vers un autre monde.
Un monde où il n'y a pas de date d'échéance, car le mot temps et ses apôtres n'existent pas dans le dictionnaire. Les gens n'ont donc d'autres choix que de vivre pour le présent. On ne mentionnerait pas le futur...mais quel futur?
Je ne veux pas vieillir, seulement m'épanouir. Mais lorsqu'on atteint un certain seuil, on commence à devenir vieux. Je ne veux pas atteindre ce seuil, ce point anguleux.. Je veux juste être en voie de l'atteindre sans jamais y parvenir. Comme ça, ma vie aurait toujours un sens et j'aurais une raison d'exister.
On ne peut pas vieillir tant qu'on aurait pas trouvé le Nirvana.
Je suis à la recherche d'une voie avec laquelle je tenterais d'atteindre du mieux que je peux mon Nirvana. Je ne suis pas pressée et je vais accomplir mes missions avec ardeur. Jamais je ne considérerais avoir atteint mon but. Jamais je n'essuyerais mes mains, car il n'y a personne pour me dire d'arrêter de grandir.
Je passerais mes jours de pluie à lire les publi-sacs lorsque j'aurais fini de grandir. Je jouerais à la lotterie lorsque je serais fatiguée de continuer.
Il est trop tôt à mon goût. Pourtant, j'ai pas hâte que ça finisse. Les minutes filent beaucoup trop vite et je n'ai le temps de rien faire...
Pourtant, quand le temps passe trop lentement, c'est comme si on m'avait buzzée.
Les jours de pluie, ça m'ennuis, mais quand le soleil se montre, je sais pas comment en profiter.
Le problème c'est que quand je sais plus quoi faire, quand je suis prise entre le faire et ne pas faire ou le faire ceci ou faire cela, je m'effoire, je craque. Capoute. Je lâche tout et vais me coucher en espérant que les choses vont se rétablir d'elles-même à mon réveil.
L'autre problème, c'est qu'à mon réveil, les choses ne se rétablissent pas...elles s'accumulent. Rendue à ce point là, je commence à regretter le passé. J'angoisse. C'est laid à voir et je ne souhaite rien de mieux que de me sublimer vers un autre monde.
Un monde où il n'y a pas de date d'échéance, car le mot temps et ses apôtres n'existent pas dans le dictionnaire. Les gens n'ont donc d'autres choix que de vivre pour le présent. On ne mentionnerait pas le futur...mais quel futur?
Je ne veux pas vieillir, seulement m'épanouir. Mais lorsqu'on atteint un certain seuil, on commence à devenir vieux. Je ne veux pas atteindre ce seuil, ce point anguleux.. Je veux juste être en voie de l'atteindre sans jamais y parvenir. Comme ça, ma vie aurait toujours un sens et j'aurais une raison d'exister.
On ne peut pas vieillir tant qu'on aurait pas trouvé le Nirvana.
Je suis à la recherche d'une voie avec laquelle je tenterais d'atteindre du mieux que je peux mon Nirvana. Je ne suis pas pressée et je vais accomplir mes missions avec ardeur. Jamais je ne considérerais avoir atteint mon but. Jamais je n'essuyerais mes mains, car il n'y a personne pour me dire d'arrêter de grandir.
Je passerais mes jours de pluie à lire les publi-sacs lorsque j'aurais fini de grandir. Je jouerais à la lotterie lorsque je serais fatiguée de continuer.
mardi 9 novembre 2010
Coudonc c'est de l'eau ou de la Vodka!
Burp! Et voilà. Bra-vo!
Je mets mes mains sur ma bouche, comme lorsqu'on vomit et qu'on ne veut pas qu'il y en ait partout.
J'étais en classe, en période d'exercices. Mes cahiers étaient tous étalés sur mon bureau. Je bois une de ces grosses gorgées d'eau. Mes babines sont pleines à craquer. Soudainement, pff..!ffff!fFFF!!ppPPffffiii..! (hihi)!glurp! glurp! flurp, SPLASH!
Je me lève brusquement, mon amie voisine me regarde avec des gros points d'interrogation.
Je me précipite à l'aveuglette en direction de la porte. L'eau qui se trouvait dans ma bouche a déménagé dans les paumes de mes mains. Il y a de gros grondements de tonnerre qui résonnent de ma voix. Je passe tout droit devant le prof, toute dégoulinante. Se sentant conscerné, il me poursuit jusque dans le corridors en disant avec une voix qui semble venir de quelqu'un qui s'apprête à transporter une victime à l'infirmerie: oh, oh... ça va? ça va Thérèse? T'es tu correcte? Il pose sa main sur mon épaule.
Vous avez entendu? IL POSE SA MAIN SUR MON ÉPAULE!!
Je tousse comme une défoncée. Incapable de dire ou de voir quoi que ce soit, je lui fais un thumbs up, toujours à l'aveuglette. Je cours en riant et en toussant vigoureusement comme une échappée de l'asile.
Rendu au point où je suis, c'est-à-dire ben gaga, on se fiche du monde qu'il y a autours. Je pouffe encore de rire et m'étouffe de plus belle.
Enfin les toilettes! Je me lave en vitesse et m'approvisionne en papier brun: y'a certainement une grosse flaque d'eau qui m'attend en dessous de ma chaise et de mon bureau.
Ayant retrouvé mon état normal, je cours vers ma classe. Dès que le prof et mes amies me voient entrer, ils commencent à rire et le monsieur me regarde d'un oeil amusé et me dis la prochaine fois, t'essayeras de pas respirer ton eau!. Pauvre Catherine! Elle pense que c'est de sa faute. Je me penche pour nettoyer mes dégâts. Ouark! Y'a des morceaux de bonbons dilués dans la flaque.
Fallait jusque que ça arrive en physique! Pas grave. Ça a valu la peine. Mon prof a démontré beaucoup de tendresse et de maternité envers moi. Quelle voix douceureuse! Qu'il est humble! Quelle courtoisie!
J'aurais dus dire que ça n'allait pas quand il me l'a demandée. Il m'aurait prise dans ses bras et nous aurions monté vers les Cieux - même si c'est juste pour aller à l'infirmerie- ensemble...Mais bon. Dieu est bon quand même!
Je mets mes mains sur ma bouche, comme lorsqu'on vomit et qu'on ne veut pas qu'il y en ait partout.
J'étais en classe, en période d'exercices. Mes cahiers étaient tous étalés sur mon bureau. Je bois une de ces grosses gorgées d'eau. Mes babines sont pleines à craquer. Soudainement, pff..!ffff!fFFF!!ppPPffffiii..! (hihi)!glurp! glurp! flurp, SPLASH!
Je me lève brusquement, mon amie voisine me regarde avec des gros points d'interrogation.
Je me précipite à l'aveuglette en direction de la porte. L'eau qui se trouvait dans ma bouche a déménagé dans les paumes de mes mains. Il y a de gros grondements de tonnerre qui résonnent de ma voix. Je passe tout droit devant le prof, toute dégoulinante. Se sentant conscerné, il me poursuit jusque dans le corridors en disant avec une voix qui semble venir de quelqu'un qui s'apprête à transporter une victime à l'infirmerie: oh, oh... ça va? ça va Thérèse? T'es tu correcte? Il pose sa main sur mon épaule.
Vous avez entendu? IL POSE SA MAIN SUR MON ÉPAULE!!
Je tousse comme une défoncée. Incapable de dire ou de voir quoi que ce soit, je lui fais un thumbs up, toujours à l'aveuglette. Je cours en riant et en toussant vigoureusement comme une échappée de l'asile.
Rendu au point où je suis, c'est-à-dire ben gaga, on se fiche du monde qu'il y a autours. Je pouffe encore de rire et m'étouffe de plus belle.
Enfin les toilettes! Je me lave en vitesse et m'approvisionne en papier brun: y'a certainement une grosse flaque d'eau qui m'attend en dessous de ma chaise et de mon bureau.
Ayant retrouvé mon état normal, je cours vers ma classe. Dès que le prof et mes amies me voient entrer, ils commencent à rire et le monsieur me regarde d'un oeil amusé et me dis la prochaine fois, t'essayeras de pas respirer ton eau!. Pauvre Catherine! Elle pense que c'est de sa faute. Je me penche pour nettoyer mes dégâts. Ouark! Y'a des morceaux de bonbons dilués dans la flaque.
Fallait jusque que ça arrive en physique! Pas grave. Ça a valu la peine. Mon prof a démontré beaucoup de tendresse et de maternité envers moi. Quelle voix douceureuse! Qu'il est humble! Quelle courtoisie!
J'aurais dus dire que ça n'allait pas quand il me l'a demandée. Il m'aurait prise dans ses bras et nous aurions monté vers les Cieux - même si c'est juste pour aller à l'infirmerie- ensemble...Mais bon. Dieu est bon quand même!
lundi 8 novembre 2010
Un lundi de rêve
Aujourd'hui, c'est la belle vie.
Je commence ma journée à 9h. Je mange avec appétit mon porridge aux bines noires que ma cuisinière personnelle temporaire m'a concocté hier soir. Je sors mon chien et le regarde avec amour ce qu'il a à faire puis on remonte les escaliers en chantant.
Dans ma chambre, je vois mon cahier Exercices de physique mécanique qui me sourit sur mon bureau. Il n'y a rien d'autre sur cette surface lisse fraîchement nettoyée hier soir. Je ne peux plus attendre et m'assois confortablement sur ma chaise tournante avec crayon, règle, efface et calculatrice parés. Je suis prête pour l'attaque.
Vers 11h 30, je décides enfin d'interrompre la game pour bouffer avec encore plus d'appétit mon omelette aux haricots. Une chose en tête: dès que je finis mon dîner, je vais jouer du piano pour m'avancer dans mes pièces, parce qu'aujourd'hui, je n'ai pas de cours. Quel bonheur de pouvoir faire nos petites affaires sans contrainte de temps. C'est ce que j'appelle avoir la paix.
12h12. Je m'installe bien confortablement sur mon banc de piano. Je m'assure que la ligne médiane de mon abdomen se trouve bien vis-à-vis le do central du clavier fraîchement épousseté hier soir.
Je pose mes mains sur les touches, puis fais chanter les premières notes. Elles vibrent avec entrain et tout le bloc chante la nocturne op. 27 no. 1 de Chopin.
Sur le divan, mon chien s'étale sur tout son long et ferme les yeux. Je le vois dans le reflet de mon piano. Il rêve de courir dans les champs, avec plein d'os à cacher.
Ma partition s'achève. Lorsque la toute dernière note de la dernière mesure retentie, j'enchaîne sans coupure une autre piece, puis une autre et encore une autre. Ça fait longtemps que je n'ai joué comme ça.
Je sens tout d'un coup une extase qui se propage dans mes veines. Le sang chaud me coule dans les artères, passe par mon coeur qui nage dans la béatitude puis recommence son cycle partout dans mon corps. Après quelques minutes, je suis complètement affectée. Je pense que l'inspiration vient de frapper.
Je décides alors d'aller me coucher sur la table de la cuisine. Je continue ma lecture du livre Nasty, Brutish and Short the Quirks & Quarks Quide to Animal Sex And Other Weird Behaviours de Pat Senson. Passionnant!
Je vais poursuivre ma journée comme ça, en pyjamas, avec l'esprit bien tranquille en rêvassant à mon cours de physique de demain.
Je commence ma journée à 9h. Je mange avec appétit mon porridge aux bines noires que ma cuisinière personnelle temporaire m'a concocté hier soir. Je sors mon chien et le regarde avec amour ce qu'il a à faire puis on remonte les escaliers en chantant.
Dans ma chambre, je vois mon cahier Exercices de physique mécanique qui me sourit sur mon bureau. Il n'y a rien d'autre sur cette surface lisse fraîchement nettoyée hier soir. Je ne peux plus attendre et m'assois confortablement sur ma chaise tournante avec crayon, règle, efface et calculatrice parés. Je suis prête pour l'attaque.
Vers 11h 30, je décides enfin d'interrompre la game pour bouffer avec encore plus d'appétit mon omelette aux haricots. Une chose en tête: dès que je finis mon dîner, je vais jouer du piano pour m'avancer dans mes pièces, parce qu'aujourd'hui, je n'ai pas de cours. Quel bonheur de pouvoir faire nos petites affaires sans contrainte de temps. C'est ce que j'appelle avoir la paix.
12h12. Je m'installe bien confortablement sur mon banc de piano. Je m'assure que la ligne médiane de mon abdomen se trouve bien vis-à-vis le do central du clavier fraîchement épousseté hier soir.
Je pose mes mains sur les touches, puis fais chanter les premières notes. Elles vibrent avec entrain et tout le bloc chante la nocturne op. 27 no. 1 de Chopin.
Sur le divan, mon chien s'étale sur tout son long et ferme les yeux. Je le vois dans le reflet de mon piano. Il rêve de courir dans les champs, avec plein d'os à cacher.
Ma partition s'achève. Lorsque la toute dernière note de la dernière mesure retentie, j'enchaîne sans coupure une autre piece, puis une autre et encore une autre. Ça fait longtemps que je n'ai joué comme ça.
Je sens tout d'un coup une extase qui se propage dans mes veines. Le sang chaud me coule dans les artères, passe par mon coeur qui nage dans la béatitude puis recommence son cycle partout dans mon corps. Après quelques minutes, je suis complètement affectée. Je pense que l'inspiration vient de frapper.
Je décides alors d'aller me coucher sur la table de la cuisine. Je continue ma lecture du livre Nasty, Brutish and Short the Quirks & Quarks Quide to Animal Sex And Other Weird Behaviours de Pat Senson. Passionnant!
Je vais poursuivre ma journée comme ça, en pyjamas, avec l'esprit bien tranquille en rêvassant à mon cours de physique de demain.
dimanche 7 novembre 2010
Deal or no deal?
Y'en a marre d'attendre! J'ai juste envie de chier quand j'vois du monde avec ce que j'aurais dus avoir depuis un gros boutte de temps!
Ça fait trop longtemps que ça me tourmente l'esprit, crisse j'va tu l'avoir un jour! C'est rendu que c'est à tous les calisse de matins que je check si ça s'en vient, mais à toutes les esti de fois c'est pareille. C'est comme me calisser une grosse claque sa yeule bâtard. Hey, le gros chien sale! Tu me fais chier ben raide pi j'ai juste envie de te foutre un couteau bien aiguisé dans l'cul mon tabarnak. Après ça, j'va te dragger jusque dans ma baignoire pleine de moisi pour t'épiler ben comme il faut avec mon super rasoir que j'ai pogné au centre des rasoirs du carrefour Laval. Ma toute te cleaner comme une patate, pi tu t'arrangeras avec ce qui reste...
Moi, je crèverais de satisfaction pi on en parle plus.
Deal or no deal?
Ça fait trop longtemps que ça me tourmente l'esprit, crisse j'va tu l'avoir un jour! C'est rendu que c'est à tous les calisse de matins que je check si ça s'en vient, mais à toutes les esti de fois c'est pareille. C'est comme me calisser une grosse claque sa yeule bâtard. Hey, le gros chien sale! Tu me fais chier ben raide pi j'ai juste envie de te foutre un couteau bien aiguisé dans l'cul mon tabarnak. Après ça, j'va te dragger jusque dans ma baignoire pleine de moisi pour t'épiler ben comme il faut avec mon super rasoir que j'ai pogné au centre des rasoirs du carrefour Laval. Ma toute te cleaner comme une patate, pi tu t'arrangeras avec ce qui reste...
Moi, je crèverais de satisfaction pi on en parle plus.
Deal or no deal?
samedi 6 novembre 2010
Il était une fois un chien
On en apprend à tous les jours des choses. Ouais, des choses. Comme aujourdhui, par exemple, j'en ai appris, des choses! Un paquet de choses qu'on ne peut appeler autrement que des choses, parce que ce sont belle et bien des choses.
Des choses dans le genre de: on dit qu'on s'est petté la gueule sur l'asphalte et non sur la sphalte, découverte qui m'a d'ailleurs complètement faite capoter il y a une couple d'années.
Jamais je n'avais pensé que je pourrais un jour, surtout pas un jour comme celui d'aujourd'hui, apprendre autant de choses en une shot!
****
Je marchais dans le traffic entre les kioskes du Salon des Animaux au Stade olympique, lorsque je tombe sur celui d'un éleveur d'expérience. Je m'arrête un instant pour contempler son charmant husky sibérien qui sommeillait paisiblement dans sa grande cage. L'éleveur me regarde et, n'ayant rien de très pertinent à dire, je lui demande sans vraiment réfléchir :
- Monsieur, comment je peux faire pour pouvoir brosser les dents d'un husky sans qu'il me morde, parce qu'il me semble que c'est vraiment agressif ces chiens là!
- Ben voyons! qui qui t'a dit ça! Eh que j'te dis qu'y en a des rumeurs sur les husky! Y sont très doux en réalité! Pour laver ses dents, j'te conseille d'y donner des os ou sinon d'aller à l'animalerie pi y acheter une brosse à dents avec d'la pâte qui goûte le poulet.
- Ah... mais encore? (pensais-je) ben merci! C'est ça que j'va faire!
Je continue de marcher et décides de jeter un petit coup d'oeil sur les - et tenez-vous bien- eaux de toilette pour chien. Y'en a de toutes sortes: lavande, invasion de baies, oranges juteuses, vanille voluptée...
- coudonc, c'est juste des chiens calisse!-
Un peu plus loin se trrouve un kioske de bouffe pour chien - on reste toujours dans le thème-.
Une dame s'approche de moi, me regarde un instant puis, constatant mon "intérêt" pour les sachets de moulée, -je lisais les noms des saveurs disponibles, parce que c'est devenu une joke tellement il y en a des fuckés- elle décide de vanter la qualité de ses produits, à quel point ils sont biologiques et équilibrés pour nos p'tits compagnons domestiques.
- Tu l'savais tu que les marques comme Pedigree, Purina, ...n bits, pi un paquet d'autres compagnies utilisent des carcasses d'animal pour faire leur moulée?
- Euh... ah oui? Même Pedigree?
- Oui sartain! quand qu'y voient un cochon mort sa route, au lieu de l'gaspiller, y le ramassent, le transforme en farine pi le mettent dans la moulée que ton chien est en train de bouffer en c'moment. J'te l'dis! on peut pas d'viner tout c'qu'y peuvent mettre dans leurs produits!
- Ah.
- Nos produits sont faits à partir d'ingrédients entièrement naturels, y'a rien de nocifs pi comme tu peux voir, y sont tous sélectionnés!
-Ah ok.......ben j'va vous en prendre un d'bord!
Y boy! je vous l'avais bien dit! On en apprend ben des choses à tou-é jours!
Bref, tout ça pour dire que j'ai de la chance de vivre dans un monde où les gens prennent ça ben relax et qu'on peut se permettre de décrocher un peu des fois.
Des choses dans le genre de: on dit qu'on s'est petté la gueule sur l'asphalte et non sur la sphalte, découverte qui m'a d'ailleurs complètement faite capoter il y a une couple d'années.
Jamais je n'avais pensé que je pourrais un jour, surtout pas un jour comme celui d'aujourd'hui, apprendre autant de choses en une shot!
****
Je marchais dans le traffic entre les kioskes du Salon des Animaux au Stade olympique, lorsque je tombe sur celui d'un éleveur d'expérience. Je m'arrête un instant pour contempler son charmant husky sibérien qui sommeillait paisiblement dans sa grande cage. L'éleveur me regarde et, n'ayant rien de très pertinent à dire, je lui demande sans vraiment réfléchir :
- Monsieur, comment je peux faire pour pouvoir brosser les dents d'un husky sans qu'il me morde, parce qu'il me semble que c'est vraiment agressif ces chiens là!
- Ben voyons! qui qui t'a dit ça! Eh que j'te dis qu'y en a des rumeurs sur les husky! Y sont très doux en réalité! Pour laver ses dents, j'te conseille d'y donner des os ou sinon d'aller à l'animalerie pi y acheter une brosse à dents avec d'la pâte qui goûte le poulet.
- Ah... mais encore? (pensais-je) ben merci! C'est ça que j'va faire!
Je continue de marcher et décides de jeter un petit coup d'oeil sur les - et tenez-vous bien- eaux de toilette pour chien. Y'en a de toutes sortes: lavande, invasion de baies, oranges juteuses, vanille voluptée...
- coudonc, c'est juste des chiens calisse!-
Un peu plus loin se trrouve un kioske de bouffe pour chien - on reste toujours dans le thème-.
Une dame s'approche de moi, me regarde un instant puis, constatant mon "intérêt" pour les sachets de moulée, -je lisais les noms des saveurs disponibles, parce que c'est devenu une joke tellement il y en a des fuckés- elle décide de vanter la qualité de ses produits, à quel point ils sont biologiques et équilibrés pour nos p'tits compagnons domestiques.
- Tu l'savais tu que les marques comme Pedigree, Purina, ...n bits, pi un paquet d'autres compagnies utilisent des carcasses d'animal pour faire leur moulée?
- Euh... ah oui? Même Pedigree?
- Oui sartain! quand qu'y voient un cochon mort sa route, au lieu de l'gaspiller, y le ramassent, le transforme en farine pi le mettent dans la moulée que ton chien est en train de bouffer en c'moment. J'te l'dis! on peut pas d'viner tout c'qu'y peuvent mettre dans leurs produits!
- Ah.
- Nos produits sont faits à partir d'ingrédients entièrement naturels, y'a rien de nocifs pi comme tu peux voir, y sont tous sélectionnés!
-Ah ok.......ben j'va vous en prendre un d'bord!
Y boy! je vous l'avais bien dit! On en apprend ben des choses à tou-é jours!
Bref, tout ça pour dire que j'ai de la chance de vivre dans un monde où les gens prennent ça ben relax et qu'on peut se permettre de décrocher un peu des fois.
vendredi 5 novembre 2010
Quand la religion s'avère utile
J'comprends pas les gens qui sacrent pour arrien- je mets vraiment l'emphase sur arrien, parce que blasphèmer à l'occasion ne fait de mal à personne et en plus c'est parfois pertinent et peut-être même - admettons-le- utile- . C'est tu pour se faire remarquer, pour suivre une "mode" provocatrice ou tout simplement parce qu'ils ont un tic? Peut importe, du sacrage gratuit, chu po capable!
Les Québécois de souche je dis pas, mais les Asiatiques bouddhistes! Les ti Juifs! les musulmans! ...les AT! C'est quoi le rapport? Non seulement c'est laid en tabarnak, mais en plus, c'est un manque de respect et de civisme envers le peuple canadien français et leur religion- même si personnellement j'm'en tappe de la religion-.
Non mais! Y savent tu eux autres c'est quoi une ostie? Y savent tu c'est qui le Christ? Là y vont tous me shooter dans face qu'ils savent tous c'est quoi ces mots là, mais j'vas tu vous dire à quel point ils s'en câlissent de c'te religion là! C'est tellement hypocrite, vous pouvez pas savoir! S'ils se foutent du catholicisme, alors pourquoi exploiter cette religion pour sacrer n'importe comment! Allez donc user vos propres mots issus de votre propre religion que vous n'osez même pas effleurer une mèche sa tête de Vishnou/ Bouddha/Allah/ pis toute le kit.
Vos blasphèmes, on n'en a pas besoin. Y'en a déjà assez de même des ti Québécois qui sacrent partout. Mais au moins, eux autres, ils sont catholiques et même s'ils ne l'étaient pas, c'est inévitable qu'ils descendent tous des ancêtres pratiquants catholiques alors s'ils sacrent, c'est leur problème- ou leur avantage, c'est selon- et je ne les reproche pas. La religion, des fois, ça sert à ça. Quand on manque d'inspiration, ça fait toujours du bien d'emprunter quelques mots au bon Dieu.
Pour ma part, j'adore le language du sacre- sauf quand ça vient constammant de la bouche d'un non catholique- parce que je trouve que nos émotions ne sortiraient pas aussi bien de la même façon sans l'aide de nos amis les saints et leurs jouets. Imaginez la vie sans sacrage! Les crescendos ne mèneraient nulle part, les fights n'auraient plus de meaning, les feelings dans le genre d'un orgasme, par exemple s'accompagneraient par des juxtapositions banales et éphèmères. Ne serait-il pas plus intéressant de donner un nom à un cri qui ne serait alors plus un simple cri mais une affirmation pleinement exclamative? Pensez à ça et vous me reviendrez.
En passant, pour ceux qui se disent que je suis en train de me descendre ben raide, je tiens à dire que oui je suis une tite asiatique à marde, mais je suis catholique et fière de l'être, parce que je n'ai aucun remord lorsque je blasphème! Vive la liberté d'expression!!!
Bon ben j'pense que j'va prévoir une journée pour me repentir moi là! (Pff! yeah, right!)
Les Québécois de souche je dis pas, mais les Asiatiques bouddhistes! Les ti Juifs! les musulmans! ...les AT! C'est quoi le rapport? Non seulement c'est laid en tabarnak, mais en plus, c'est un manque de respect et de civisme envers le peuple canadien français et leur religion- même si personnellement j'm'en tappe de la religion-.
Non mais! Y savent tu eux autres c'est quoi une ostie? Y savent tu c'est qui le Christ? Là y vont tous me shooter dans face qu'ils savent tous c'est quoi ces mots là, mais j'vas tu vous dire à quel point ils s'en câlissent de c'te religion là! C'est tellement hypocrite, vous pouvez pas savoir! S'ils se foutent du catholicisme, alors pourquoi exploiter cette religion pour sacrer n'importe comment! Allez donc user vos propres mots issus de votre propre religion que vous n'osez même pas effleurer une mèche sa tête de Vishnou/ Bouddha/Allah/ pis toute le kit.
Vos blasphèmes, on n'en a pas besoin. Y'en a déjà assez de même des ti Québécois qui sacrent partout. Mais au moins, eux autres, ils sont catholiques et même s'ils ne l'étaient pas, c'est inévitable qu'ils descendent tous des ancêtres pratiquants catholiques alors s'ils sacrent, c'est leur problème- ou leur avantage, c'est selon- et je ne les reproche pas. La religion, des fois, ça sert à ça. Quand on manque d'inspiration, ça fait toujours du bien d'emprunter quelques mots au bon Dieu.
Pour ma part, j'adore le language du sacre- sauf quand ça vient constammant de la bouche d'un non catholique- parce que je trouve que nos émotions ne sortiraient pas aussi bien de la même façon sans l'aide de nos amis les saints et leurs jouets. Imaginez la vie sans sacrage! Les crescendos ne mèneraient nulle part, les fights n'auraient plus de meaning, les feelings dans le genre d'un orgasme, par exemple s'accompagneraient par des juxtapositions banales et éphèmères. Ne serait-il pas plus intéressant de donner un nom à un cri qui ne serait alors plus un simple cri mais une affirmation pleinement exclamative? Pensez à ça et vous me reviendrez.
En passant, pour ceux qui se disent que je suis en train de me descendre ben raide, je tiens à dire que oui je suis une tite asiatique à marde, mais je suis catholique et fière de l'être, parce que je n'ai aucun remord lorsque je blasphème! Vive la liberté d'expression!!!
Bon ben j'pense que j'va prévoir une journée pour me repentir moi là! (Pff! yeah, right!)
jeudi 4 novembre 2010
Que d'émotion!
Cette, année, je me suis inscrite au cégep de Saint-Laurent... ça je peux vous le dire que ce nétait pas voulu, et que jamais je n'avais songé à poursuivre mes études dans ce collège. Mes choix n'étaient d'ailleurs pas très justifiables, mis à part du fait que j'avais choisi le cégep de Bois-de-Boulogne en premier lieu puis le cégep Maisonneuve, parce que ce sont les seuls que je connais, ou alors parce que c'est la résonnance de petites voix qui viennent des personnes à qui la jeunesse tourne le dos depuis pas moins de 2-3 générations.
Quoi qu'il en soit, j'adore mon cégep! À Saint-Laurent, on retrouve ce qu'on appelle l'amitié - ouais je sais que ça fait quétaine- . Dès que je mets les pieds dans l'entrée principale, je ressens tout de suite l'odeur exaltante de mon chez moi. Les étudiants sont tellement différents les uns des autres, j'en vois de toutes les couleurs! Ils sont très charmants et me donnent le goût de socialiser- ce qui ne m'arrive pas aussi souvent que ça!-
C'était ma deuxième journée de cours - qui est plus précisément ma première vraie journée de cours. Je me dirige vers mon tout premier cours de physique mécanique - cours dans lequel j'avais successivement bien passé avec une note parfaite de 60% l'année dernière - en ayant presque le traque de voir mon nouveau professeur. Je n'avais pas envie d'être pognée avec une cruche qui parle de la cinematique en 2D comme on parle d'une dissection pulmonaire d'un poisson-chat. Alors que je regarde le numéro devant la porte me ma nouvelle classe de physique, PAF!! Un gentil monsieur, tout soigné, bien propre, vêtu d'un chandail blanc et veston beige, me regarde avec un sourire ma foi... je trouve pas le mot..! Et me dit bonjour. Oh lala! quelle paire de yeux! Quel visage! À l'époque, je n'osais pas encore penser qu'il était beau bonhomme...Non mais! ¨Ça va pas? je ne voulais pas admettre à moi-même ni à mes nouvelles amies- très charmante d'ailleurs- que ce regard là me faisait de quoi. Je n'en reviens tout simplement pas qu'un tel homme pouvais se trouver dans un collège aussi...en désordre! Je me contente alors à la pensée que ce cher Philippe était un bel humain... pas laid mais vraiment pas laid...pff! Une litote subtile,quoi!
Je lui dis bonjour à mon tour en lui rendant le sourire et en hochant la tête et m'assois juste devant son bureau, pour ne pas dire carrément dans sa face! - C'est une place que je ne cèderais pour tout l'or du monde! - Je ne peux plus détourner mon regard de lui et de sa personne. C'est un jeune monsieur dans le début de la trentaine, je le sais malgré ses cheveux sel et poivre- il ne faut jamais se laisser intimider par de simples poils- car il dégage tant de vivacité et de jeunesse! Wow! Maudit bolé! Même s'il ne l'avait pas dit, on l'aurait su. Ça se voit, ça se sens! C'est sexy des nerds quand y savent comment s'y prendre!
Quoi qu'il en soit, j'adore mon cégep! À Saint-Laurent, on retrouve ce qu'on appelle l'amitié - ouais je sais que ça fait quétaine- . Dès que je mets les pieds dans l'entrée principale, je ressens tout de suite l'odeur exaltante de mon chez moi. Les étudiants sont tellement différents les uns des autres, j'en vois de toutes les couleurs! Ils sont très charmants et me donnent le goût de socialiser- ce qui ne m'arrive pas aussi souvent que ça!-
C'était ma deuxième journée de cours - qui est plus précisément ma première vraie journée de cours. Je me dirige vers mon tout premier cours de physique mécanique - cours dans lequel j'avais successivement bien passé avec une note parfaite de 60% l'année dernière - en ayant presque le traque de voir mon nouveau professeur. Je n'avais pas envie d'être pognée avec une cruche qui parle de la cinematique en 2D comme on parle d'une dissection pulmonaire d'un poisson-chat. Alors que je regarde le numéro devant la porte me ma nouvelle classe de physique, PAF!! Un gentil monsieur, tout soigné, bien propre, vêtu d'un chandail blanc et veston beige, me regarde avec un sourire ma foi... je trouve pas le mot..! Et me dit bonjour. Oh lala! quelle paire de yeux! Quel visage! À l'époque, je n'osais pas encore penser qu'il était beau bonhomme...Non mais! ¨Ça va pas? je ne voulais pas admettre à moi-même ni à mes nouvelles amies- très charmante d'ailleurs- que ce regard là me faisait de quoi. Je n'en reviens tout simplement pas qu'un tel homme pouvais se trouver dans un collège aussi...en désordre! Je me contente alors à la pensée que ce cher Philippe était un bel humain... pas laid mais vraiment pas laid...pff! Une litote subtile,quoi!
Je lui dis bonjour à mon tour en lui rendant le sourire et en hochant la tête et m'assois juste devant son bureau, pour ne pas dire carrément dans sa face! - C'est une place que je ne cèderais pour tout l'or du monde! - Je ne peux plus détourner mon regard de lui et de sa personne. C'est un jeune monsieur dans le début de la trentaine, je le sais malgré ses cheveux sel et poivre- il ne faut jamais se laisser intimider par de simples poils- car il dégage tant de vivacité et de jeunesse! Wow! Maudit bolé! Même s'il ne l'avait pas dit, on l'aurait su. Ça se voit, ça se sens! C'est sexy des nerds quand y savent comment s'y prendre!
mercredi 3 novembre 2010
N'importe quoi...j'étais pas supposée faire mon travail d'espagnol?
Bon ben bien l'bonjour à qui veut bien me lire, c'est aujourd'hui, en ce mercredi soir du 3 novembre 2010 à 18h47 et 34 secondes précisement que ce blogue est né... Je ne sais ce que le destin nous réservera à moi et mon non parlé, mais ce qui compte c'est qu'à partir de maintenant, je ne gaspillerais plus des minutes précieuses de ma vie à bafouiller n'importe quoi toute seule avec moi-même...ce dit n'importe quoi n'est en fait pas toujours n'importe quoi, puisque si ça l'était, croyez-moi, je ne serais plus de ce monde qui est nul autre qu'une vulgaire boule de raison, de logique et d'ingéniosité. Bon. Assez parler de n'importe quoi qui n'est en fait pas n'importe quoi.
Chers blogaholeux (car il faut vraiment l'être pour commencer à lire mon blogue), si, à un moment donné, en lisant certaines choses, vous ne vous sentez pas bien, allez donc prendre l'air avec votre je ne sais quoi avec plein de fleurs et ne revenez plus sur ce blogue, puisque vous risqueriez de trouver votre vie bien longue et... je trouve pas le mot... (le contraire de plate, mais pas amusante ni "entertaining"... proche de bizzarre, mais là n'est pas le mot que je cherche...).
Sur ce, longue vie à toi, cher blogue!
Chers blogaholeux (car il faut vraiment l'être pour commencer à lire mon blogue), si, à un moment donné, en lisant certaines choses, vous ne vous sentez pas bien, allez donc prendre l'air avec votre je ne sais quoi avec plein de fleurs et ne revenez plus sur ce blogue, puisque vous risqueriez de trouver votre vie bien longue et... je trouve pas le mot... (le contraire de plate, mais pas amusante ni "entertaining"... proche de bizzarre, mais là n'est pas le mot que je cherche...).
Sur ce, longue vie à toi, cher blogue!
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